Event

vendredi 17 octobre 2025, 18h30

Espace intérieur – L’apnée entre obsession et méditation

Screening The Deep – Le Cinèma des profondeurs

Projection de film dans le cadre de l'exposition Julian Charrière. Midnight Zone
Entrée gratuite, sans réservation


À l’occasion de l’exposition Julian Charrière. Midnight Zone le Musée Tinguely propose en parallèle la programmation de films sous-marins. Quatre soirées thématiques permettront au public de s’immerger dans d’éblouissantes profondeurs cinématographiques, entre science et fiction, présentées et conçues par le scientifique des médias, conservateur et écrivain Matthias Wittmann (Bâle/Mayence/Vienne).

 

Espace intérieur – L’apnée entre obsession et méditation

La plongée en apnée, une comparaison transculturelle : dans le film documentaire
Ama-San, les «femmes de la mer» japonaises, même agées, plongent sans aide
respiratoire et selon des rythmes méditatifs à la recherche de coquillages, perpétuant
ainsi une vieille tradition. Il en va autrement dans le film français Le Grand Bleu
(1988) qui traite d’autres facettes de la plongée: championnats, descentes
exceptionnelles, amitié et rivalité, romance sous-marine et évasion fantasmée dans
la France des années 1980.

 

18h30: Partie I
Ama-San (PT/CH/JP 2016, R: Cláudia Varejão, 112 Min., Japanoais/dt. U)

20h45: Partie II
Le Grand Bleu / The Big Blue (F 1988/89, Luc Besson, Director’s Cut: 168 Min., Engl.)

 

Les snacks et les boissons peuvent être achetés pendant l’événement.

 

Bildlegende: Filmstill Ama-San (PT/CH/JP 2016, R: Cláudia Varejão), Copyright ©Vinca Film, Mira Film


Julian Charrière. Midnight Zone
11 juin - 2 novembre 2025

Julian Charrière. Midnight Zone

L’une des préoccupations majeures de l’artiste franco-suisse Julian Charrière est de savoir comment l’être humain habite le monde et comment celui-ci nous habite à son tour. Dans une vaste exposition personnelle, le Musée Tinguely présente des photographies, des sculptures, des installations et de nouvelles œuvres cinématographiques qui traitent de notre relation avec la Terre en tant qu’univers fait d’eau – car cet élément recouvre la majeure partie de notre planète de mers, de lacs et de glace, à la fois habitat d’une myriade d’organismes et réceptacle de systèmes circulatoires essentiels à la stabilité de notre climat. Comme une réflexion sur le flux et la matérialité, sur la profondeur et le traitement politique, sur les dimensions à la fois séculières et sacrées, l’exposition agit à la manière d’un kaléidoscope et nous invite à l’immersion.


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